24 heures de n'importe quoi
(Rôôh j'ai fait une faute à la première case, je changerai ça plus tard)
Pour les 24 heures de la BD, il fallait mettre Popeye en scène, sous forme de strips (plutôt surprenant comme contrainte), je me suis donc lancée dans les scénarios et j'ai fait le maximum de strips, puis j'ai perdu espoir, j'ai abandonné, puis finalement non, parce que nom d'une pipe il faut aller jusqu'au bout, j'ai fini le travail pour décider à la toute fin de ne pas mettre ma BD en ligne, pas assez contente du résultat.
Alors que mes amis ont fait des trucs de maboule (ici, là ou là), je sais déjà que je vais me faire huer par mes camarades dès que je les verrai, puisque quand je leur dis "c'est super ce que tu as fait", on me répond "toi aussi".
BREF, mon Popeye est enfant, il a grandi dans les années 2000, il est chiant, une sorte de môme hystérique qui tape tout le monde dès qu'il n'est pas content. On oublie les épinards, lui il boit du Redbul, et à force de faire des crises ses parents l'emmènent voir un psy pour enfant. Il veut devenir marin, un vrai loubard, du coup il se fascine pour la vie aquatique et traîne un poisson en laisse que ses parents changent, dès que ça commence à sentir.
Popeye enfant torturé, une sorte de Calvin sans le Hobbes, voilà l'idée.
Ah, et comment oublier Boulet, qui te balance en quelques heures un truc nickel chrome et rigolo, qui pourrait être publié sans problème. Sacré lui.